Le bilan

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Le bilan

L'Histoire
Le Bilan

Le haut commandement avait prévu que la place de Bir-Hakim devait résister éventuellement un maximum de dix jours. La résistance se prolongea pendant quinze. La garnison était de 3600 hommes. Elle fut attaquée par une division blindée puis par deux divisions motorisées, la 90ème division allemande et la division italienne motorisée « Trieste ».
Il y avait à Bir-Hakim un régiment de 75. L’ennemi disposait d’au moins quatorze batteries avec des canons de 155 et de 210. Il n’y avait à Bir-Hakim aucun engin blindé. La D.C.A. était assurée par 18 canons Bofors dont douze servis par des fusiliers marins et six par des soldats britanniques.
Les pertes infligées à l’ennemi furent les suivantes :
50 chars, 11 automitrailleuses, 5 canons portés, sept avions. La brigade fit 125 prisonniers allemands dont un officier et 154 prisonniers italiens dont 9 officiers.
Les pertes du côté français furent les suivantes : 900 tués, blessés, disparus ou prisonniers, dont 600 au cours de la nuit du 10 au 11 juin ; 40 canons de 75 détruits, 8 canons Bofors, 5 canons de 47 et 250 véhicules.

A ce jour, 143 militaires français sont morts pour la France en Afghanistan, en Somalie, au Mali ,au Levant et en Centrafrique
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